Quoi de neuf, docteur ? IA, ça vous chatouille ou ça vous gratouille ?

Publié le Leave a commentPosted in EDITO

Un récent débat sur l’Intelligence Artificielle entre le très médiatique Laurent Alexandre, docteur en médecine, énarque, transhumaniste, futurologue, essayiste, écrivain, conférencier, serial entrepreneur, cofondateur de Doctolib… et le non moins médiatique philosophe Raphaël Enthoven, sur LCI, a titillé mon hypothalamus et accessoirement mon bulbe rachidien dont l’IA n’est pas (encore) pourvue.

Ces deux enfants gâtés qui se tutoient se sont livrés, à fleurets trop mouchetés, à mon goût, à un exercice de rhétorique qui tenait autant de la promotion que de la joute intellectuelle.

Que nous disent-ils en substance ?

Le titre du dernier opus de Raphaël Enthoven résume bien sa pensée : « L’esprit artificiel : une machine ne sera jamais philosophe ».

Celui de Laurent Alexandre, également : « ChatGPT va nous rendre immortels ».

Le premier rappelle que l’intelligence, n’est rien sans conscience.

Le second soutient que l’IA est d’ores et déjà bien supérieure à l’intelligence humaine. Il donne l’exemple du diagnostic médical fourni par l’IA qui surpasse celui du médecin.

Raphaël Enthoven souligne qu’il ne s’agit que d’un outil informatique surpuissant servant à faciliter certaines tâches humaines, comme tous les outils.

Ce point de vue est intéressant car il pose la question fondamentale de la définition de l’IA.

Ainsi, Depuis Alan Turing, génial mathématicien anglais et inventeur de la machine à décoder les messages allemands, durant la 2ème guerre mondiale, l’IA peut se définir comme le développement de systèmes informatiques pouvant accomplir des tâches exécutées, habituellement, par des humains.

On parlait d’Intelligence Informatique, à l’époque mais l’Intelligence Artificielle, plus spéculative et plus vendeuse a fini par s’imposer, avec son acronyme.

Devenue une science étudiée dans les plus prestigieuses universités américaines, à partir de la fin des années cinquante, l’IA a connu sa période de glaciation, dans les années soixante-dix, malgré des investissements considérables qui n’ont pas donné grand-chose.

C’est quand la micro-informatique dote le commun des mortels d’ordinateurs que l’IA refait son apparition, dans les années quatre-vingt, avec, parallèlement, des supercalculateurs pour la gestion des Big Data.

Depuis, ma machine à calculer électronique donne, en une fraction de seconde, le résultat de n’importe quel calcul, bien plus rapidement que moi. Pourtant et quand bien même ma modestie dût-elle en souffrir, je ne pense pas que ma machine à calculer soit plus intelligente que moi.

Mais revenons au postulat de départ du philosophe Raphaël Enthoven et incidemment de toute la communauté scientifique qui posent le problème de la conscience, dans l’IA générative comme ChatGPT.

L’IA n’est, en effet, pas consciente de sa propre activité intellectuelle qui consiste à concaténer des milliards de données provenant de sources extrêmement variées, à une très grand vélocité, afin de les assembler dans le cadre de l’objectif fixé par son utilisateur, ne serait-ce que pour se poser la question de savoir si tout cela est bien moral voire légal.

L’IA utilise des données (textes, images, photos, voix, sons etc.) qui ne lui appartiennent pas. Ces données sont celles d’auteurs rendus anonymes et dont les œuvres sont stockées dans des Bases De Données gigantesques et tentaculaires où l’IA puise abondamment, sans autre considération.

Je citerai l’exemple récent des comédiens français qui se plaignent de servir d’échantillonnage à l’IA, pour produire des voix artificielles. Ou encore celui de la chanson Heart On My Sleeve devenue un tube, faite avec les voix de The Weeknd et Drake qui n’ont jamais donné leur accord.

Et que penser de cette société française qui vient de lancer une plateforme LMS utilisant l’IA, afin de générer, en quelques instants, des modules de formation ad hoc dont vous n’êtes pas l’auteur ?

Je ne vois guère que la recherche qui pourrait échapper à cette utilisation contestable du travail d’autrui par l’IA, afin de faire profiter l’humanité tout entière de nouvelles avancées scientifiques qui en résulteraient mais encore faudrait-il pouvoir créditer leurs nombreux contributeurs.

A bien des égards, le procès intenté par le New York Times à Microsoft et à Open AI, pour plagiat, sera des plus intéressants à suivre.

Mais laissons l’IA trancher (provisoirement) la question de la conscience posée par Raphaël Enthoven.

Lors d’un chat sur un réseau social, il y a quelques mois, j’avais coupé court à une discussion sur l’IA qui s’enlisait, par le syllogisme suivant et que j’ai soumis à ChatGPT, dans sa dernière version 4-o :

  1. Il n’y a pas d’intelligence sans émotion.
  2. L’IA n’a pas d’émotion.
  3. Donc, l’IA n’est pas intelligente.

Avec un bel instinct de conservation, ChatGPT m’a répondu :

« Le syllogisme que vous avez présenté est structuré de la manière suivante :

  1. Il n’y a pas d’intelligence sans émotion.
  2. L’IA n’a pas d’émotion.
  3. Donc, l’IA n’est pas intelligente.

Analysons ce syllogisme étape par étape :

  1. La Prémisse Majeure : « Il n’y a pas d’intelligence sans émotion »

Cette prémisse affirme que l’intelligence est indissociablement liée aux émotions. Cette affirmation est sujette à débat et dépend de la définition de l’intelligence. Certains chercheurs et philosophes de l’esprit soutiennent que les émotions jouent un rôle crucial dans la prise de décision, la résolution de problèmes et la créativité, ce qui sont des aspects de l’intelligence humaine. D’autres, cependant, peuvent définir l’intelligence de manière plus abstraite et mathématique, en la séparant des émotions.

  1. La Prémisse Mineure : « L’IA n’a pas d’émotion »

Cette prémisse est généralement acceptée. Les systèmes d’intelligence artificielle, tels qu’ils existent aujourd’hui, ne possèdent pas de conscience ou d’émotions. Ils peuvent simuler des réponses émotionnelles ou analyser des données émotionnelles, mais ils ne ressentent pas réellement d’émotions.

  1. La Conclusion : « L’IA n’est donc pas intelligente »

Cette conclusion découle logiquement des deux prémisses précédentes, mais elle dépend fortement de l’acceptation de la première prémisse. Si l’on accepte que l’intelligence nécessite des émotions (comme le stipule la première prémisse), alors, puisque l’IA n’a pas d’émotions, il est cohérent de conclure que l’IA n’est pas intelligente.

Discussion

  • Débat sur la Définition de l’Intelligence : Le cœur du syllogisme repose sur la définition de l’intelligence. Si l’on considère que l’intelligence inclut nécessairement des émotions, alors l’argument est solide. Toutefois, si l’on accepte des définitions d’intelligence plus axées sur la logique, le traitement de l’information, ou la capacité à résoudre des problèmes indépendamment des émotions, alors l’argument pourrait être contesté.
  • Types d’Intelligence : Il est également possible de différencier les types d’intelligence. L’intelligence émotionnelle, qui inclut la capacité à comprendre et gérer les émotions, est une forme d’intelligence. L’IA peut être considérée comme possédant une forme d’intelligence non émotionnelle, basée sur des algorithmes et des processus logiques.

Conclusion

Le syllogisme est valide dans la mesure où l’on accepte la première prémisse comme étant vraie. Cependant, comme cette prémisse est contestable et sujette à interprétation, la conclusion selon laquelle l’IA n’est pas intelligente dépend de la définition que l’on adopte pour l’intelligence. Il s’agit donc d’un argument intéressant qui soulève des questions philosophiques importantes sur la nature de l’intelligence et la distinction entre intelligence humaine et artificielle. »

 

Maxime Ferretti

Et Leadergame créa Readergame

Publié le Leave a commentPosted in EDITO

Chères Readergameuse, Chers Readergamers,

C’est à une lettre près que je m’adresse à vous, dans cet éditorial, à l’occasion d’une grande cause nationale 2022, la lecture.

La lecture et par voie de conséquence, les livres me tiennent particulièrement à cœur, à plus d’un titre, si j’ose dire.

Dès ma plus tendre enfance, les livres m’ont fasciné, comme ils ont fasciné mon père qui apprit le français en quelques mois, grâce à Victor Hugo, Flaubert, Maupassant, Stendhal et bien d’autres, ne conservant que le léger accent de ses origines. A 5 ans, j’ai suivi son exemple en puisant, dans l’éclectique bibliothèque familiale, les histoires avec lesquelles j’ai appris à lire.

2022, C’est l’année que nous avons choisie pour lancer les premiers titres des livres numériques intelligents que nous avons appelés READERGAME car la lecture peut, aussi, être un jeu.

Au-delà d’un simple ebook, READERGAME propose, grâce aux nouvelles technologies, des smart ebooks qui allient texte, version sonore, images numériques interactives, quiz et outils pédagogiques, pour (re)découvrir les grands classiques et faciliter l’apprentissage et la compréhension de la lecture.

Readergame s’adresse à tous, petits et grands, francophones et francophiles, particuliers et professionnels.

Nous débutons, aujourd’hui, la prévente des premiers titres des premières collections qui vont s’enrichir, au fil du temps.

Fidèles à nos engagements pour l’innovation et la bienveillance, nous reversons, pour chaque smart ebook vendu, 1 € aux associations Lire et Faire Lire créée par l’écrivain Alexandre Jardin pour transmettre le plaisir de la lecture et Le Petit Escabeau qui apporte un soutien scolaire aux enfants allophones.

Une raison de plus de nous soutenir dans cette nouvelle grande aventure :

 

PREVENTE READERGAME

 

Et en ces temps troublés, alors que l’histoire nous replonge dans le siècle dernier, je ne résiste pas à l’envie nécessaire de citer Paul Valéry, dans le Cimetière marin, « Le vent se lève, il faut tenter de vivre ! ».

 

Maxime Ferretti

En attendant 2022

Publié le Leave a commentPosted in EDITO

Bis repetita placent, comme disent les anciens.

Ou ce qui est répété plaît, pour paraphraser le poète Horace dans son Art poétique.

Ces vers devenus une maxime pourraient tout aussi bien s’appliquer à la situation créée par la pandémie que j’évoquais dans mon éditorial de l’année dernière publié pour le Réveillon et que je vous laisse redécouvrir ci-dessous, presque mot pour mot.

Il y a un deux ans, presque jour pour jour, j’évoquais la décennie qui commençait avec son lot décuplé d’interrogations et de souhaits. 2021 commençait à poindre sous une année 2020 froidement finissante, en espérant continuer, avec la même énergie, ce qui avait été commencé, durant la décennie précédente, pleine de promesses, tant il est vrai qu’elles n’engagent que ceux qui y croient.

Curieux et plein d’espoir, nous avions donc entamé la nouvelle année, en prêtant une oreille moins distraite à une épidémie lointaine devenue familière.

Chacun connaît la suite et en cette période traditionnelle de vœux, toute autre considération que sanitaire, dans son acception la plus large paraît d’une totale futilité.

Et pourtant…

C’est au pied du mur que l’on voit le maçon. Et passée la première sidération d’un confinement historique vécu comme une campagne de guerre qui a connu ses héros et ses morts, nous nous sommes tous organisés.

La distanciation sociale, comme les outils numériques sont devenus l’alfa et l’oméga d’un monde confiné, dé-confiné, reconfiné.

Il faudra bien s’y faire et si nous ne sommes pas habitués à cette distanciation sociale si peu latine, la digitalisation déjà en marche dans la société, s’accélère sur un plan personnel, pour communiquer avec nos proches comme sur un plan professionnel, pour continuer à travailler et à se former ensemble.

Et puisqu’une année qui s’achève est également propice aux prévisions, je vous renvoie à celles de l’éminent cabinet de conseil et de recherche Forrester pour lequel les entreprises à la pointe de l’ère numérique bénéficieront d’un avantage concurrentiel durable.

Et Leadergame, toujours plus innovante et disruptive que jamais, continuera à être à vos côtés.

Merci à tous ceux qui, loin des idées reçues, nous font confiance.

Nous vous souhaitons une excellente santé et d’excellentes fêtes de fin d’années, en prenant soin de vous et de vos proches.

Maxime Ferretti

En attendant 2021

Publié le Leave a commentPosted in EDITO

Il y a un an, presque jour pour jour, j’évoquais la décennie qui commençait avec son lot décuplé d’interrogations et de souhaits. 2020 commençait à poindre sous une année 2019 gentiment finissante, en espérant continuer, avec la même énergie, ce qui avait été commencé, durant la décennie précédente, pleine de promesses, tant il est vrai qu’elles n’engagent que ceux qui y croient.

Curieux et plein d’espoir, nous avions donc entamé la nouvelle année, en prêtant une oreille distraite à une épidémie lointaine.

Chacun connaît la suite et en cette période traditionnelle de vœux, toute autre considération que sanitaire, dans son acception la plus large paraît d’une totale futilité.

Et pourtant…

C’est au pied du mur que l’on voit le maçon. Et passée la première sidération d’un confinement historique vécu comme une campagne de guerre qui a connu ses héros et ses morts, nous nous sommes tous organisés.

La distanciation sociale, comme les outils numériques sont devenus l’alfa et l’oméga d’un monde confiné, dé-confiné, reconfiné.

Il faudra bien s’y faire et si nous ne sommes pas habitués à cette distanciation sociale si peu latine, la digitalisation déjà en marche dans la société, s’accélère sur un plan personnel, pour communiquer avec nos proches comme sur un plan professionnel, pour continuer à travailler et à se former ensemble.

Et puisqu’une année qui s’achève est également propice aux prévisions, je vous renvoie à celles de l’éminent cabinet de conseil et de recherche Forrester pour lequel les entreprises à la pointe de l’ère numérique bénéficieront d’un avantage concurrentiel durable.

Et LEADERGAME, toujours plus innovante et disruptive, continuera à être à vos côtés.

Merci à tous ceux qui, loin des idées reçues, nous font confiance.

Nous vous souhaitons une excellente santé et d’excellentes fêtes de fin d’années, en prenant soin de vous et de vos proches.

Maxime Ferretti

Formez-vous dès septembre avec VISIO LEARNING

Publié le Leave a commentPosted in News

A LEADERGAME, nous préparons activement la rentrée et vous pouvez, d’ores et déjà, programmer vos formations à distance, à partir de septembre, avec notre VISIO LEARNING.

 

VISIO LEARNING, c’est :

 

UN PROCÉDÉ UNIQUE

UN CATALOGUE ENRICHI

DES CONSULTANTS FORMATEURS CERTIFIÉS

DES SERIOUS GAMES INNOVANTS 

UN TARIF UNITAIRE TRÈS ATTRACTIF

 

VOIR LE PROGRAMME VISIO ICI

NOUS CONTACTER ET CHOISIR VOS DATES ICI

 

A bientôt dans nos sessions VISIO LEARNING!
L’équipe des Leadergamers

LEADERGAME lance le VISIO LEARNING

Publié le Leave a commentPosted in News

LEADERGAME renforce son offre e-learning et lance le VISIO LEARNING by LEADERGAME.

Le VISIO LEARNING LEADERGAME, c’est l’intégralité de notre catalogue de FORMATIONS COMMERCIALES et de FORMATIONS EN MANAGEMENT déjà disponible en BLENDED LEARNING, enrichi de nouveaux parcours.

Notre format VISIO LEARNING applique une MÉTHODE QUE NOUS AVONS MISE AU POINT et qui mêle efficacement formation en visio-conférences, travail de préparation et formation à distance, avec une initiation à nos serious games utilisés, pendant et après la formation.

A l’occasion de ce lancement, nous enrichissons notre offre catalogue, avec un parcours en INTELLIGENCE ÉMOTIONNELLE, en AFFIRMATION DE SOI et en GESTION DU STRESS que nous transformons en énergie positive.

Toutes nos formations sont animées par des CONSULTANTS-FORMATEURS EXPÉRIMENTÉS ET CERTIFIÉS sur nos solutions.

Tous nos serious games et outils pédagogiques innovants sont développés par des SPÉCIALISTES DES SCIENCES COGNITIVES ET DES INGÉNIEURS EN PÉDAGOGIE ET EN INFORMATIQUE.

 

Accédez à notre offre VISIO LEARNING en cliquant ICI

Un nouveau Serveur plus puissant et plus performant, pour LEADERGAME

Publié le Leave a commentPosted in News

Afin de s’adapter, aux mieux, à la situation de crise sanitaire et d’anticiper la demande, LEADERGAME se dote d’un nouveau serveur plus puissant qui double ses capacités de stockage.

Ce nouveau serveur optimisera les milliers de connexions simultanées déjà possibles et permettra une meilleure gestion du langage de programmation PHP7, pour certaines de nos plates-formes, améliorant, notamment, la vitesse d’exécution et offrant de nouvelles fonctionnalités de gestion.

Ainsi, dotés de ce nouveau serveur, nous pouvons proposer la meilleure expérience de nos applications et de nos innovations, à nos utilisateurs.

Le basculement se fera le jeudi 2 avril, à 17 heures et rendra nos sites et nos plates-formes indisponibles, pendant quelques minutes. Une maintenance est prévue le mardi 5 mai, à 11 heures qui pourrait occasionner une indisponibilité de notre site et de nos plates-formes, pendant plusieurs minutes.

L’équipe des Leadergamers mobilisés

Garder ses distances tout en gardant le contact

Publié le Leave a commentPosted in EDITO

En ces temps particuliers d’urgence sanitaire où le mot d’ordre national et international est de garder ses distances, tout en gardant le contact, les outils numériques  nous permettent de continuer nos activités personnelles et professionnelles, individuelles et collectives.

Comme beaucoup d’entreprises et d’éditeurs numériques, LEADERGAME se mobilise pour proposer ses solutions à des conditions particulières, afin de permettre au plus grand nombre de continuer à se former, à distance.

Ainsi, l’intégralité de notre catalogue peut être mis à disposition, à des conditions préférentielles. Chaque licence donnera droit, comme avant, à un reversement forfaitaire au profit d’une association œuvrant pour l’éducation, dans le cadre de notre engagement au sein du Mouvement pour une Economie Bienveillante.

Notre gamme d’outils pédagogiques innovants peut être utilisée seule en ligne ou avec l’un de nos consultants-formateurs, en mode blended e-Learning (visio-conférence).

L’adage nous rappelle que c’est au pied du mur qu’on voit le maçon. Il est temps de construire, ensemble, une autre société.

Nous contacter, en cliquant, pour bénéficier de cette offre

Toute l’équipe mobilisée des Leadergamers

2020, une année décennie

Publié le Leave a commentPosted in EDITO

Chers Leadergameuses et Chères Leadergamers,

Une décennie se termine et une autre commence, tout un symbole que nous propose 2020 et dont nous n’hésitons pas à nous emparer pour vous présenter nos meilleurs vœux, tant sur un plan personnel que professionnel.

LEADERGAME est née quand ce siècle avait douze ans et nous avons atteint l’âge de raison, en suivant de nombreux conseils mais sans rien perdre de notre originalité et en prenant soin de nous tenir éloignés du panurgisme ambiant qui fait et qui défait, si rapidement, tant d’idoles, en ces temps de l’instantanéité digitale.

Ainsi, en ce début d’année, sans rien céder aux modes, comme nous l’avons toujours fait mais en restant concentrer sur l’innovation et l’efficacité et surtout, sans faire dire aux sciences cognitives ce qu’elles ne savent pas encore,  nous vous proposons un nouvel outil pédagogique innovant, un serious game en ligne et téléchargeable sur tous supports qui fait la synthèse de toute notre expérience pédagogique et scientifique, LEADERGAME PLAY.

Avec LEADERGAME PLAY qui fait la part belle à l’intelligence artificielle, tous ceux qui n’ont pas le temps de s’initier aux outils auteurs plus ou moins facile à utiliser, tapisserie de Pénélope que nous ne cessons tous de tisser et de détisser, jour après jour, vous pourrez tout simplement tester et former toutes les compétences personnelles et certaines compétences métiers propres au management et à la relation client, en améliorant la gestion d’équipes mais aussi la gestion de projets, ce qui constitue une nouvelle avant-première de LEADERGAME.

LEADERGAME PLAY proposera, régulièrement, des nouveautés.

Visionnez la vidéo de présentation !

Faites-nous part de vos projets !

A très bientôt,

Maxime Ferretti