Quel commercial êtes-vous ?

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Etre un bon commercial ne s’improvise pas. 

Dans le questionnaire ci-dessous, vous allez pouvoir situer votre niveau de connaissances théoriques et pratiques des fondamentaux de la fonction commerciale, afin de vous entraîner pour vous améliorer ou vous maintenir au meilleur niveau. 

Pour toute demande relative à ce questionnaire,  cliquez ici

 

 

Si le client pose des questions de détail, c’est un feu vert pour conclure :
Je maîtrise la méthode du bilan pour conclure :
En cas de blocage, il faut parler des points de désaccord :
Je sais identifier les différentes motivations de mes clients :
Je sais argumenter en CAB (Caractéristiques, Avantages, Bénéfices) :
Je sais argumenter en BAC (Bénéfices, Avantages, Caractéristiques) :
Je cherche à maîtriser non seulement la connaissance du produit mais encore la structure de l’échange :
Si le client revient mollement sur une objection importante, je dois conclure :
Expliquer les bénéfices de notre proposition, en montrer l’avantage et présenter la solution, c’est argumenter en :
Peu importe ce que vous pensez de votre produit, de toutes les façons, votre client ne le saura pas :
Je pratique des closings partiels (synthèses partielles) de façon régulière :
Le plus important avec les clients, c’est de bien leur présenter l’offre pour qu’ils aient conscience de son intérêt :
Je connais les principales objections et la façon de les traiter :
Je sais installer une relation de confiance propice à faire parler le client :
Quand on présente une gamme de produits, il faut commencer par le milieu de gamme :
En cas de blocage, il faut parler des points d’accord :
J’évite de donner trop la parole au client. Il pourrait en profiter pour formuler des objections :
Plus la vente est complexe, plus le rapport de force est en faveur du vendeur :
Je connais et maîtrise la méthode ACRRA pour répondre aux objections :
Il ne faut pas perdre trop de temps à débroussailler la demande du client, de toutes les façons, la plupart du temps, il ne sait pas ce qu’il veut. c’est à vous de lui vendre une solution :
Le prix doit être présenté en premier car ça permet de vite situer les choses :
Je me fixe des objectifs, avant d’aller chez le client :
Un client avec des objections est souvent un client indifférent à votre offre :
Quand on présente une gamme de produits, il faut la présenter du moins cher au plus cher :
Je présente mes arguments un par un, en demandant systématiquement : qu’est-ce que vous en pensez?
Je maîtrise mes annonces initiales et leurs justifications :
J’ai en tête les seuils de rupture en dessous desquels je ne descendrai pas :
Quand on fait face à des objections, il faut les discuter systématiquement :
L’objection sincère et fondée repose sur des faits indiscutables :
J’ai fait la liste des différents points à négocier avec le client :
J’enchaîne trois arguments à la suite pour couper l’herbe sous le pied aux objections de mon client :
Présenter l’offre, expliquer son intérêt et montrer en quoi elle est intéressante pour le client, c’est argumenter en :
Quand je vais chez un client, je cherche à identifier mes alliés potentiels chez le client :
J’ai identifié les concessions possibles de mon côté :
A l’issue du traitement d’une objection, il faut mettre le client devant ses responsabilités :
Quand je prépare mes négociations commerciales, je cherche à identifier ce qui me différencie de la concurrence :
J’utilise des aides à la vente : exemples, illustrations, témoignages, supports :
Je sais quelles contreparties demander dans telle ou telle circonstance :
Pour conclure, je mets le client en situation :
S’entraîner à écouter, c’est bien mais le plus important c’est de travailler ses dossiers :
J’ai une stratégie de questionnement complète et efficace :
Je reformule la motivation de mon client, avant d’argumenter :

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